sábado, 22 de septiembre de 2012

Tentative de refaire le monde

Zeus, donne-moi la force! 
Quand j'étais un enfant, influencé par des films qui sont venus à ma petite ville sur les rives du lac Titicaca, l'habitude de sortir dans mes moments ─ faiblesse ─ ma cour, et, levant les bras au ciel en criant: «Zeus, donne-moi forces! ». Dans ces années-là, consciemment quitter ma première communion, la liberté et la créativité s'exerce autant que possible.

Je suis convaincu que  l'idée-action de Dieu venait le cerveau des êtres humains dans le but de trouver un équilibre entre la peur et la joie, la peur du manque de nourriture, la peur du danger des autres êtres vivants comme des bêtes ou vermine, des lézards ou des reptiles venimeux, effrayés par la foudre, tempêtes, tremblements de terre ou des inondations, mais aussi la joie d'avoir la sécurité d'un aliment à l'heure, ayant la joie du sexe, de la joie de la parentalité, la joie de célébrer le bien-être et de la paix. Dieu est donc un mélange de café, bienfaiteur et punisseur.  
 Créateur des meilleurs cadeaux et les joies; mais aussi provoqué aux pires tragédies irrémédiables.
Et la personnification trouve dans une myriade d'images, dont se détache nettement, un fort, beau, gentil, terrible et puissante. C'est sans doute l'image de Zeus, dans la culture occidentale. Autrement dit, les deux représentations qu'il a faites artistes grecs: l'un, debout, se déplaçant avec la foudre dans sa main droite levée, et l'autre, assis majestueusement conduire réalité.Richard Dawkins a fait remarquer qu '«après Darwin, l'hypothèse d'un être supérieur qui a conçu le monde cesse d'occuper. Si l'on croit en Dieu devrait le faire pour d'autres raisons, mais pas parce que vous avez besoin pour expliquer le monde. "Pre-scientifique réflexion (empirique ou magique) n'a jamais pu terminer un modèle de création qui n'était pas due à un" être prêt " c'est à dire un «étant» qui conçoit toutes les choses «ex-enseignants». Aujourd'hui, nous savons que l'évolution ne procède pas en ligne droite, les flux, occupe l'espace, décide d'un besoin d'énergie, la stabilité, l'espace, la vie ... et se développe parce que tout est en mouvement.L'idée de l'action de Dieu dans le cerveau de tous les êtres humains disparaître avant longtemps. Nous avons utilisé pour appeler les jours de la semaine donnant chaque satellite d'une planète-divinisés, lorsque nous exprimons le moment maximum de plaisir, la douleur, la tragédie ou la terreur, s'écria: «Mon Dieu». Mais, un jour, disparaîtra de toutes les communautés dans le monde et, espérons-le, commencent à répandre la paix entre tous les hommes, et parmi toutes les espèces conscientes.

¡ Zeus, dame fuerzas !
 Cuando fui un niño, influenciado por algunas películas que llegaban a mi pequeña ciudad a orillas del lago Titicaca, solía salir ─en mis momentos de flaqueza─ al patio de mi casa, y levantando los brazos hacia el cielo, gritaba «¡Zeus, dame fuerzas!». Por esos años, concientemente, renuncié a la primera comunión y mi creatividad ejerció toda la libertad posible.
Estoy convencido que la idea-acción de Dios fue llegando a los cerebros de los seres humanos en el esfuerzo por encontrar un punto de equilibrio entre el miedo y la alegría; miedo por la falta de comida, miedo por el peligro de otros seres vivos como las fieras o las alimañas, saurios o reptiles venenosos, miedo por los rayos, tempestades, terremotos o inundaciones; pero también alegría por tener la seguridad de una comida a tiempo, alegría de practicar el sexo, alegría de criar a los hijos, alegría de celebrar el bienestar y la paz. Dios, es pues, una mezcla de hacedor, benefactor y castigador. 
 Hacedor de los mejores dones y dichas; pero también causante de las peores e irremediables tragedias.
Y encontró la personificación en una infinidad de imágenes, de las cuales, destaca con claridad, un hombre fuerte, bello, bondadoso, terrible y poderoso. Sin duda, esa es la imagen de Zeus, en la cultura occidental. He ahí, las dos representaciones que de él hicieron los artistas griegos: una, de pie, avanzando con un rayo levantado en su mano derecha, y la otra, sentado majestuosamente, conduciendo la realidad. 
Richard Dawkins ha señalado que «Después de Darwin, la hipótesis de un ser superior que ha diseñado el mundo deja de sostenerse. Si uno cree en Dios debe hacerlo por otros motivos, pero no porque lo necesite para explicar el mundo.» El pensamiento pre-científico (empírico o mágico) nunca pudo completar un modelo de la creación que no se debiera a un "ente voluntarioso"; es decir, un "ser" que diseñe todas las cosas "ex-profeso". Hoy sabemos que la evolución no avanza en línea recta; fluye, ocupa espacios, se resuelve en una necesidad de energía, de estabilidad, de espacio, de vida... y se desarrolla porque todo está en movimiento. 
La idea-acción de Dios en los cerebros de todos los seres humanos tardará mucho en desaparecer. La usamos al denominar los días de la semana otorgando cada uno a un planeta-satélite divinizado, la expresamos cuando en el máximo momento de placer, de dolor, de tragedia o de pavor, exclamamos: "¡Dios mío!." Pero, algún día, desaparecerá de todas las sociedades de la Tierra y, ojalá, la paz empiece a extenderse entre todos los hombres, y entre todas las especies concientes.